Mon Expert en Gestion, la gestion en ligne de votre entreprise
ACDL Expertise propose à ses clients l’adhésion au portail collaboratif Mon expert en gestion via une plateforme 100% web, permettant la gestion financière en ligne de votre entreprise: devis, facturation, suivi de trésorerie, tableau de bord, logiciel de caisse…
Mon Expert en Gestion est une plateforme contenant un ensemble d’outils utiles dans la gestion quotidienne de votre entreprise. Par exemple :
– Vous y effectuez simplement la facturation de vos clients,
– Vous suivez efficacement votre solde journalier de caisse,
Mon Expert en Gestion (MEG) est le portail collaboratif entre votre entreprise et votre expert-comptable via une plateforme 100% web :
– Les informations de l’entreprise sont centralisées dans un environnement unique : vous y alimentez vos bases de contacts (clients, fournisseurs, partenaires, …) et d’articles,
– Le portail est accessible pour tous les employés de l’entreprise, avec la possibilité de gérer les droits d’accès en fonction de chaque utilisateur,
– Vous travaillez en lien direct avec le cabinet comptable : supervision par le cabinet, …
Comment conquérir de nouveaux clients?
Conquérir de nouveaux clients
De l’artisan à la PME ou la PMI, la prospection pour conquérir de nouveaux clients est une condition vitale au maintien et au développement de l’entreprise. Mieux vaut alors en maîtriser les ressorts..
Evidente à la création d’une entreprise, la recherche de clients est en fait une démarche nécessaire tout au long de son activité. « Le portefeuille client évolue en permanence, il faut donc en trouver de nouveaux pour faire de la croissance et de l’innovation », souligne Philippe Jolivet, expert-comptable
du cabinet Tersiguel-Jolivet, membre de France Défi.
Réfléchir à sa stratégie permet de s’assurer une prospection efficace.
Sécurité informatique: contre les hackers, protégez votre entreprise
Souvent peu protégées en terme de sécurité informatique, les PME sont particulièrement visées par les hackers. Etat des lieux des bonnes pratiques en matière de cybersécurité…
Compte bancaire professionnel: est-ce une obligation?
Impossible de créer son entreprise sans ouvrir un compte bancaire distinct. Mais faut-il pour autant passer par un compte bancaire « professionnel », plus coûteux qu’un compte classique?
C’est un prérequis obligatoire, y compris pour les auto-entrepreneurs. Lorsqu’on créé son entreprise, il faut impérativement ouvrir un compte bancaire « professionnel » – autrement dit, séparé de tout compte bancaire personnel, pour que les opérations effectuées par l’entreprise restent bien claires au niveau comptable.
Or, tout créateur d’entreprise le sait bien : les comptes bancaires « professionnels » tels qu’ils sont proposés par les banques pratiquent des frais bien plus élevés que ceux des comptes particuliers, y compris pour de simples opérations financières limitées aux virements et débits. Des frais qui peuvent paraître dissuasifs, notamment pour les entrepreneurs individuels et plus généralement ceux qui n’ont pas besoin de services bancaires spécifiques.
En principe, ces derniers pourraient donc être fondés à ouvrir un simple compte classique, du moment qu’il reste distinct de toute autre activité. Mais en réalité cette pratique s’avère assez délicate et même financièrement risquée.
Crowdfunding: comment se faire accompagner dans sa levée de fonds?
Faire appel au financement participatif pour sa levée de fonds peut-être utile. Mais choisir la plateforme à utiliser, pas toujours évident. Le cabinet MG accompagne les entreprises dans cette démarche: exemple avec la campagne de crowdfunding réalisée pour Medic’oeil sur Lendopolis…
Ce cabinet accompagne actuellement une demi-douzaine d’entreprises dans leur quête de financement. En début d’année, il a orienté l’entreprise Medic’œil vers la plateforme qui lui semblait la mieux adaptée à ses besoins : Lendopolis.
Medic’oeil, créée il y a deux ans, aménage des espaces dédiés à destination des ophtalmologistes. Dotés de machines dernier cri, ces espaces sont loués à la journée aux praticiens, qui peuvent ainsi cumuler jusqu’à 120 consultations par jour, contre une quarantaine seulement selon le modèle classique en cabinet.
Une industrialisation du processus médical réussie qui a donné des envies de développement à ses deux dirigeants, désireux d’ouvrir un deuxième centre à Valence (Drôme), venant compléter le site initial basé en Savoie. Pour booster sa trésorerie, Medic’œil a donc choisi de faire appel à la générosité de particuliers, afin d’assurer l’aménagement de ces locaux et l’achat de matériel.
Contrôle URSSAF: évolutions positives pour les chefs d’entreprise
Fin des contrôles inopinés, délais de recours allongés…Un décret récent apporte des aménagements favorables aux dirigeants dans le cadre d’un contrôle Urssaf.
Contrôles Urssaf riment souvent avec angoisse pour tout chef d’entreprise. Car l’inspecteur qui réalise ce contrôle va passer au peigne fin tout ce qui relève de la paie, de la comptabilité, des contrats de travail et du juridique… Et en cas de non-respect des règles, même involontaire, les redressements
peuvent être douloureux.
Bonne nouvelle toutefois, le décret du 8 juillet dernier a réformé le cadre des relations entre l’Urssaf et les entreprises, dans un sens plutôt favorable à ces dernières. « L’idée est de prévoir un meilleur encadrement des échanges entre agent contrôleur et entreprise contrôlée, en renforçant les
obligations de l’administration », souligne maître Aurélien Ascher, avocat au barreau de Paris.
Entrées d’argent exceptionnelles pour l’entreprise: comment les traiter?
Lorsqu’une entreprise reçoit des entrées d’argent exceptionnelles, non liées à son activité courante, elle doit savoir les traiter sur le plan comptable comme fiscal…
La gestion des entrées d’argent exceptionnelles ne s’improvise pas.
Le plan comptable général, qui définit les règles comptables applicables aux entreprises, comprend certes un compte dédié aux « produits exceptionnels », le compte 77 et ses sous-comptes. Mais toutes les entrées inhabituelles ne l’intègrent pas.
« En cas de produit non régulier, il faut bien s’interroger sur la nature de la charge que ce produit vient compenser. Si plusieurs options comptables sont possibles, il y a ensuite une vraie réflexion à mener avec son expert-comptable, pour voir quel ratios du compte de résultat on peut ou veut améliorer », explique Henry-Pierre Miécaze, expert-comptable et dirigeant du cabinet Hexo, membre du groupement France Défi.
Bulletin d’octobre-novembre 2016
Le bulletin d’information FRANCE DEFI Associations, pour vous tenir informés de toutes les évolutions législatives et réglementaires.
Au cours des deux dernières années, le Gouvernement a re-légitimé un certain nombre de principes qu’il estime important de mettre en oeuvre dans les relations entre collectivités et associations : la sécurisation des financements avec les conventions pluriannuelles d’objectifs, le partenariat avec les chartes d’engagements réciproques, et la défense de la subvention, en s’appuyant sur la définition légale qu’en donne la loi ESS de 2014.
Même si ces outils sont connus, un petit point récapitulatif sur certains d’entre eux ne fait jamais de mal, surtout lorsqu’il s’agit du dispositif de la subvention, si important pour nombre d’associations. C’est pourquoi nous lui consacrons le dossier de ce numéro.
Par ailleurs, notre évolution légale présente le «CICE associatif» (Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi), un dispositif dont les associations
avaient été exclues lors de sa mise en place pour les entreprises. Le Gouvernement a décidé de remédier à cette situation au moment du vote de
la loi de finances pour 2017.
48 idées reçues sur la création d’entreprise
Les français sont de plus en plus attirés par l’entrepreneuriat mais de nombreuses idées reçues circulent et peuvent parfois induire les créateurs en herbe en erreur, et pénaliser leur projet de création d’entreprise…
http://www.acdl.fr/chomeurs-createurs-dentreprise-principaux-dispositifs-daide/
Il existe plusieurs mesures en faveur des chômeurs créateurs d’entreprise ou repreneurs d’entreprise.
L’aide au chômeur créant ou reprenant une entreprise (Accre) consiste en une exonération de charges sociales durant 12 mois si sa rémunération ou ses revenus n’excède pas le plafond annuel de sécurité sociale (Pass), soit la somme de 39 228 euros en 2017.
L’exonération de charges sociales est totale si le revenu (ou la rémunération) est inférieur ou égal à 75 % du Pass, soit la somme de 29 421 euros, et devient dégressive pour un revenu (ou une rémunération) compris entre 75 % du Pass et le Pass.
Antérieurement au 1er janvier 2017, tous les chômeurs créateurs bénéficiaient d’une exonération de charges sociales dans la limite de 120 % du smic.
Le chômeur créateur ou repreneur d’entreprise peut également percevoir une aide de Pôle emploi qui correspond au versement d’une partie du reliquat de ses droits au chômage. Le montant de cette aide correspond à 45 % du montant du reliquat de ses droits à chômage restant au jour du début de l’activité. Le versement de l’aide est subordonné au bénéficie de l’Accre et s’opère en deux fois, au plus tôt à la date du début d’activité, puis six mois après
celui-ci.
Aide des Hauts de France pour l’apprentissage
Dans le cadre du Plan d’apprentissage, les entreprises de moins de 250 salariés voient l’aide d’initiative régionale pour le recrutement d’un apprenti de plus de 18 ans portée à 3.000 euros.
http://www.acdl.fr/alternance-investissement-recrutement/
Un alternant combien ça coûte ? Est-ce que c’est rentable ? Embaucher en alternance peut être une belle opportunité, à condition de ne pas oublier le principal objectif de ce mode de formation.
Recruter en alternance, l’idée peut séduire. Et souvent en raison des bénéfices financiers accordés à ce type de recrutement. « La question se pose souvent des avantages et inconvénients de l’apprentissage.
La tentation est grande de prendre un apprenti parce que ça ne coûte pas cher. » relève Alexandra Desprès, responsable du service social et associée du cabinet Michel Creuzot, membre du groupement France Défi.